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On-Premise vs Saas : le juste coût

La pandémie de covid-19 a confirmé la supériorité du cloud vis-à-vis du On-Premise : la flexibilité. Même lorsque les collaborateurs doivent être en télétravail, il est possible aux différentes équipes de travailler ensemble à distance avec des logiciels en mode SaaS. Cela signifie-t-il que les logiciels installés sur les postes de travail sont obsolètes ? Explications.

Le « on-premise » (ou sur site) peut être qualifié d’informatique « classique » : des logiciels installés sur chaque ordinateur.

Le cloud bouleverse ses habitudes et méthodes de gestion. Généralement, les entreprises ont entamé leurs premiers pas dans cet écosystème en optant pour des logiciels en mode

SaaS (Software-as-a-service). Ce sont des services spécifiques fournis par un provider de cloud. Officiellement, tout est plus simple.

Mais cela signifie-t-il que le SaaS soit la panacée ? Faisons une petite comparaison entre le SaaS et le On-Premise.

Le principal atout des solutions sur site est d’être ancrées dans l’environnement de l’entreprise, elles permettent aux équipes de bénéficier d’un haut degré de visibilité, de contrôle et de sécurité (en particulier lorsqu’il s’agit de données très sensibles). Cette visibilité et ce contrôle peuvent donner aux équipes un avantage lorsqu’il s’agit de surveiller les performances des actifs et de répondre rapidement aux problèmes.

Une gestion précise des abonnements

Revers de la médaille, cette solution nécessite d’avoir une politique rigoureuse en matière de licences (à renouveler annuellement) et de mises à jour intégrant des correctifs de sécurité et de nouvelles options ou fonctionnalités.

Ce sont justement ces inconvénients qui ont conduit de nombreuses entreprises à adopter des solutions SaaS.  La maintenance (mises à jour, corrections techniques…) est assurée par le fournisseur de cloud ou l’éditeur de ce logiciel. En tant que client, une entreprise paie donc un service « clé en main » ; elle se contente de souscrire à un abonnement mensuel ou annuel et de sélectionner les collaborateurs qui pourront y accéder en ligne.

Le SaaS facilite aussi l’accès (d’où la nécessité de mettre en place un contrôle strict des  utilisateurs…) depuis n’importe quel terminal fixe ou mobile. Enfin, c’est l’assurance d’avoir une version intégrant automatiquement de nouvelles fonctionnalités.

Cependant, il est essentiel pour les entreprises d’avoir une vision précise des usages du SaaS. Différentes études ont permis de constater que 20 à 30% des abonnements à Microsoft 365 n’étaient pas actifs… Multipliée par le nombre de logiciels SaaS, la facture peut vite s’avérer élevée à la fin de l’année.

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